3 juillet 2015
lysiane-voyance
l’atrocité que camouflait mal ma veste Oubliant aussitôt mes bribes de pensées libidineuses, je me levai et partis tête basse vers le fond du corridor d’attente La dernière salle était déserte, idéale, voyance par mail, Nous nous y installâmes le plus discrètement possible, ma vermine et moi, malgré le hurlement étouffé que ne purent contenir mes lèvres en m’asseyant.
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